"Rêves ta vie en couleur, c'est le secret du bonheur"

Chanson "Tu t'envoles" extraite du Peter Pan de Disney (1953)

Les Crayons de couleur de Jean Gabriel Causse

Genre : Fiction contemporaine gentillette.

Ben voilà on m'offre plein de livres à Noël, celui ci c'est mon beau père autrichien (c'est pas une critique, c'est juste pour bien le situer dans ma famille tentaculaire et compliquée). Du coup, je vous livre tout plein de fiches de lecture dans la foulée ! Comme quoi la théorie du ruissellement ça peut fonctionner, quand on l'applique à autre chose que la fiscalité...  Il faut dire aussi que j'ai une forte motivation : éviter des drames familiaux... Bref, comme disait Pépin, si on s'y mettait? À la quatrième de couv', je n'aurais pas choisi ce roman : déjà c'est pas mon style de bouquin, ensuite l'histoire m'inspirait pas plus que ça... Et au final, j'aurais eu tort car bien que ça ne soit toujours pas ma came, c'était quand même pas trop mal...

"Love me love me
Say that you love me
Fool me fool me"

Lovefool The Cardigans (1996, First Band on the Moon)

LoveStar de Andri Snær Magnason
Genre : Fiction presque contemporaine en mode surréaliste.

De moi même je n'aurais pas choisi un bouquin de ce genre : déjà la couverture elle pique les yeux ! Mais une de mes soeurs (la grande) me l'a offert avec comme dédicace : "Et je veux une fiche de lecture". Du coup votre humble efficient et dévoué serviteur qui forcément est aussi le sien, fut bien obligé de s'exécuter...

Ce bouquin est dans le style, pas toujours heureux d'ailleurs, des histoires et des personnages faussement naïfs et simplets avec une narration légère pour dénoncer certains travers de notre société : des genres de remake de Candide de Voltaire.... Bon en tout cas, ici, certaines idées et réflexions sont intéressantes, même si elles ont parfois un petit air de déjà vu pour qui a fricoté avec des univers cyberpunk.

"Rien n'est plus aisé à faire qu'un mauvais livre, si ce n'est une mauvaise critique."

Voltaire

Récit d'un branleur de Samuel Benchetrit
Genre : fiction contemporaine assez chiante

Honnêtement, je ne sais pas qui est le plus gros branleur : le héros ou l'auteur... Le plus terrible dans cette histoire, c'est que votre humble, efficient et dévoué serviteur doit quand même faire une fiche et vu le slogan de toilette j'ai pas intérêt à (trop) me rater !

"Dans le monde, 42 % du bois exploité commercialement sert à fabriquer du papier"

Statistique Anonyme.

L'homme que l'on prenait pour un autre de Joël Egloff
Genre : fiction contemporaine chiante

Votre humble, efficient et dévoué serviteur a fini un livre de chiotte ! Attention ça ne veut pas forcément dire que c'est de la merde, bon il se trouve que dans le cas présent, le livre en question était vraiment, vraiment pas terrible, mais c'est l'exception qui confirme la règle, ou du moins juste une malheureuse coïncidence...

"Ceux qui ne savent raconter que la vérité ne méritent pas qu'on les écoute"

Le grand père de l'auteur.

Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire de Jonas Jonasson, Oh la belle allitération ! Il était prédestiné à être écrivain celui-là...
Genre : fiction contemporaine humoristique

Ce livre a une histoire avant même que votre humble, efficient et dévoué serviteur commence à le lire : "on" l'avait offert à notre père pour son anniversaire il y a un moment déjà, je ne suis pas sûr qu'il l'ait lu, mais ma sœur l'a fait et me l'a recommandé. Et donc en voici le compte rendu critique libre :

"Quand t'es dans le désert
Depuis trop longtemps
Tu t'demandes à qui ça sert"

Quand t'es dans le désert (1979 Jean-Patrick Capdevielle)

Le Désert des tartares de Dino Buzzati
Genre : fiction contemporaine chiante

Et voilà, tout finit par arriver, je me suis finalement occupé du cadeau empoisonné offert par Nagash... Le dernier livre qu'il restait de ce fameux anniversaire de mai 2013 où tout a commencé...

Comme votre humble, efficient et dévoué serviteur est un peu Hyperactif (Bob), un bouquin où il se passe rien : les gens attendent, se leurrent puis attendent encore et enfin meurent... c’était sur que ça n'allait pas lui plaire ! D'ailleurs je soupçonne, non en fait je sais, que c’était un choix délibéré et assumé pour me déplaire. Hé bien, c'est réussi, voici mon verdict :

"C'est juste une illusion
A peine une sensation
Qui dirige tes pas
Et te montre du doigt
Où tu vas où tu vas"

Juste une illusion - Jean Louis Aubert (1987 Plâtre et ciment)

Les Falsificateurs suivi des Éclaireurs (Les) d'Antoine Bello
Genre : fiction contemporaine originale

Bon je voudrais pas cramer ces bouquins pour ceux qui ont envie de les lire alors ça va pas être évident. Grosso merdo, c'est l'histoire d'un mec, pas sous le pont de l'Alma, qui intègre le CFR, Consortium de Falsification du Réel, une organisation mondiale secrète et tentaculaire qui falsifie la réalité (sans déconner?) crée des mythes etc

Dans quel but ? Pourquoi ? Comment?

"tunt, mtic mtic mtic, tunt tunt, mtic mtic mtic : I've got the power..."

I've got the power - Snap! (1990)

Power play de Joseph Finder
Genre : Fiction contemporaine en mode action un peu suspens.

Bon celui là, c’était une sorte d'achat compulsif : ça faisait longtemps que j'avais pas acheté un "livre papier", la faute de ma liseuse évidemment. Alors que je rendais visite à un mustélidé des Hauts de France, un titre a irrésistiblement attiré mon attention : Power play pour un gameur comme moi s'était imparable, donc forcément j'ai encaissé, puis j'ai répliqué en jetant un coup d’œil à la 4eme de couv': ça parlait d’enlèvement de milliardaires, de dirigeants d'une grande entreprise pris en otage. Je me suis dit : trop cool ! On va suivre les aventures de Robins des bois modernes, ils volent aux riches et... C'est déjà pas mal! Enfin, de toutes façons, braquer des Rmistes c'est pas très rentable !